Il insiste « (…) Très honnêtement, je ne vois pas la différence entre une prothèse faite en France et faite en Chine. Ce qui compte, c’est la satisfaction du patient, et la responsabilité du dentiste. On assure en cas de problème.»
Autre exemple, le laboratoire Languedoc Mondial Prothèses, implanté à St Gély du Fesc (Hérault) et à Toulouse, travaille avec la Chine et la Turquie (Izmir) afin de faire baisser les coûts. Thierry Kaplan, associé de Christophe Albano au sein de ce laboratoire explique « C’est une demande de nos clients, les dentistes, pour baisser les prix. À eux de jouer le jeu avec leurs patients à petit budget ».
Face à ces affirmations clairement énoncées, l’UNPPD souligne que si les prothèses d’importation sont soumises aux règles de l’UE et au code de la Santé Publique, il est impossible d’en contrôler les matériaux. Elles ne font par ailleurs l’objet d’aucun contrôle sanitaire. Non, une prothèse d’importation ne présente pas les mêmes garanties qu’une prothèse dentaire française.
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Last modified: 18 avril 2019